La requête « emploi » ouvre un encadré aux multiples critères optimisant les chances de trouver un job. Tous les acteurs du marché sont ravis.
Premiers constats de base : comme il le fait pour un très grand nombre de thématiques, le chercheur d’emploi commence souvent sa quête par Google. Le marché de l’emploi est aussi, malheureusement, un grand marché dans la majorité des pays du monde, touchés par le chômage.
La firme californienne a donc mis au point une sorte de moteur de recherche spécialisé (comme elle le fait pour la finance par exemple), lancé de 2017 à aujourd’hui en France dans plus 120 pays. Ce système évite les redondances de sites, les offres expirées ou encore les duplications de la même offre.
En premier lieu le chercheur d’emploi se voit proposer des offres géolocalisées, évidemment… Puis il va pouvoir préciser ses critères : géographiques, type de mission recherchée, type de contrat souhaité, fourchette de rémunération, ou date de publication de l’offre.
Le service lancé en France le mois dernier a séduit les agences en ligne et certaines ont répondu présentes en amont du projet pour être intégrées dès le lancement, au rang desquelles Monster.fr, Cadremploi et Pôle emploi.
Mais tous les sites d’emploi sont accessibles et la personne inscrite sur un ou plusieurs d’entre eux pourra aisément y accéder. Un partenariat entre ces sites, Google, et le chercheur d’emploi gagnant / gagnant / gagnant.
Les taux de transformation des sites d’emploi auraient été multipliés par 5 depuis le lancement de l’outil emploi de Google. Cela faisait longtemps que l’on disait qu’il existe bel et bien des offres d’emploi en France et que la problématique est d’améliorer leur adéquation avec les chercheurs d’emplois…
GOOGLE est une marque de la holding ALPHABET cotée à New-York. Le cours de Bourse progresse de 93% sur 5 ans.
